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Nouvelle-Aquitaine : la filière nautique efface le traumatisme de 2008

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La Tribune s'intéresse au renouveau de la filière nautique en Nouvelle-Aquitaine depuis la crise de 2008 et consacre pas moins de 2 articles à ce sujet sur son site web, le premier centré sur les géants du marché, le deuxième sur les petites et moyennes entreprises du secteur.

 

Les grands chantiers régionaux reprennent leur marche en avant

 

Berceau des catamarans de plaisance, la filière nautique de Nouvelle-Aquitaine finit de digérer l’impact traumatisant de la crise financière de 2008. L’an dernier, le chantier naval Fountaine Pajot, inventeur du catamaran de plaisance, a ainsi rattrapé et largement dépassé son chiffre d’affaires de 2007. 

De son côté, CNB-Lagoon a dû pousser les murs pour suivre la demande : le chantier à Bordeaux Rive Droite a ainsi recruté 150 salariés en 2016, dont une majorité d'ouvriers et devrait en embauchera 100 de plus en 2018. Les recrutements de l'an dernier ont suivi une nouvelle poussée immobilière du chantier, sans doute la dernière : le périmètre de 100.000 m² ne permettant plus au chantier naval de faire face à la hausse de son activité.

Lire l'article de La Tribune (1/2)

 

 

Les PME tirent à nouveau leur épingle du jeu

 

Le choc de la crise financière de 2008 a été plus fortement ressenti par les nombreuses PME de la filière nautique néo-aquitaine, à l’instar des chantiers Dubourdieu, à Arcachon, et Rhéa Marine à La Rochelle.

"Depuis la crise de 2008 Dubourdieu a perdu des volumes dans la plaisance. Nous faisons moins de bateaux mais plus haut de gamme" recadre Emmanuel Martin, qui annonce un chiffre d'affaires moyen de 2 M€ hors taxes.

Rhéa Marine, à La Rochelle, construit des bateaux de plaisance pour la pêche et la promenade, de puissantes vedettes de 6,5 à 10 mètres. "Nous ne fabriquons les bateaux que quand ils ont été vendus. Ce sont de beaux objets 30 à 40 % plus chers que les équivalents faits pour les marchés de masse" distingue Alex Pinet, directeur général de ce chantier naval. Des bateaux vendus autour de 180.000 € pièce.

Lire l'article de La Tribune (2/2)

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