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Sellerie nautique : un exemple de reconversion réussie

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Changer de vie pour créer son entreprise de sellerie nautique, Mathilde Hamon l'a fait. Elle revient dans Ouest France sur son parcours hors du commun.

Une histoire de passion et d'ambition : à 25 ans, la native de région parisienne découvre la voile, coup de foudre immédiat. Travaillant à l'époque dans le social, elle plaque tout pour devenir monitrice de voile au Centre nautique des Glénans, à Paimpol (Côtes-d'Armor). Rapidement, elle passe son brevet de skipper et découvre la voile traditionnelle en Méditerranée.

À l'été 2009, alors capitaine de l'Enez Koalen, elle débarque à Douarnenez et tombe sous le charme de la région. Un an plus tard, elle achète Algol et emménage à bord de ce voilier de 9 mètres, vieux de 50 ans. "J'ai eu envie de naviguer pour moi, plus pour les autres." Elle restera sept ans à bord. Dans la foulée, elle est prise en stage, par hasard, dans une voilerie brestoise.

Après la voilerie, elle s'oriente vers le métier de sellière, apprenant sur le tas avant d'intégrer, en 2011, la formation spécialisée des Ateliers de l'enfer. "J'avais ce projet dans un coin de ma tête depuis ma première visite à Douarnenez."

Aujourd'hui à la tête du Fil de la côte, son entreprise de sellerie nautique, elle vit pleinement sa passion. En effet, grâce à un solide réseau constitué lors de sa vie de marin, son carnet de commandes ne désemplit pas.

Lire l'article de Ouest France

 

Inspiré(e) par l'histoire de Mathilde ? Sachez que le secteur de la sellerie nautique, à l'image de l'ensemble des métiers du nautisme, recherche activement de nombreux talents. 

En savoir plus sur le métier de sellier nautique

Liste des instituts de formation

 

 

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