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Réseaux d’influence : où et comment la FIN vous représente (3/3)

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Afin de compléter le panorama des différents réseaux d’influence au sein desquels la FIN porte votre voix, cette semaine nous vous proposons un éclairage sur l’implication de la FIN au sein de deux filières, industrielle d’une part, avec le Comité Stratégique de Filière (CSF) des industriels de la mer, et sportive d’autre part, avec le Collectif Sports Nautiques.

Vous pouvez également consulter :

  • Notre premier article consacré à la dimension liberté des usages et développement durable des activités nautiques, avec un éclairage sur les rôles du CNP, du Comité Nautisme et Plaisance, du SG Mer et du CIMER.

  • Notre second volet sur la dimension aménagement et protection de la mer et des littoraux, qui présente le Conseil National de la Mer et des Littoraux, les Conseils maritimes de façade et ultramarins et les Documents Stratégiques de Façade, ainsi que l’implication de la FIN dans ces instances et travaux.

Le Comité Stratégique de Filière (CSF) des industriels de la mer


Le CSF, dont la FIN est un des 4 membres fondateurs, a été installé en octobre 2018.

Son objectif est de favoriser la collaboration entre les quatre grandes organisations professionnelles du secteur, le GICAN pour l’industrie navale, Evolen pour l’offshore oil and gas, la FIN pour les industries et services nautiques et le SER pour les énergies marines renouvelables.

logos comité stratégique de filière

Quatre axes prioritaires ont été identifiés pour mener une action d’ensemble : l’innovation, le numérique, l’emploi et la formation, l’internationalisation des entreprises et l’export.

Une instance est dédiée en son sein à la recherche, il s’agit du Conseil d’Orientation de la Recherche des industriels de la Mer (CORIMER) dont le rôle est double, d’une part le parrainage des appels à projets de recherche (le premier a été lancé au printemps), de développement ou d’innovation qui concernent la filière des industriels de la mer, et d’autre part une identification des guichets de financement.

Les axes de R&D retenus par la filière sont : les énergies et la propulsion, les nouveaux matériaux et le chantier intelligent, les ressources marines et enfin les bateaux intelligents et systèmes autonomes.

La FIN se donne un an pour éprouver cette méthode et voir si elle peut porter ses fruits concrètement.


Le Collectif Sports Nautiques


photo ministre sportsLa FIN est également impliquée au sein de la filière sport, à travers le Collectif Sports Nautiques, dont la création a été annoncée par la Ministre des Sports lors de sa visite au salon nautique de Paris en décembre 2018. Il s’agit de regrouper les acteurs privés et publics des sports nautiques (fédérations sportives, professionnelles, entreprises, Business France, etc.) afin d’encourager le développement économique de ce secteur en France mais aussi à l’international.

La ministre des sports a fixé trois axes de travail à ce collectif : d’une part, la coopération et la concertation entre acteurs français afin d’identifier les bonnes pratiques, les freins et les leviers pour développer l’économie du secteur. D’autre part, l’innovation, en valorisant les compétences et l’expertise des acteurs français, par exemple en matière technologique ou de développement durable. Enfin, "le sport à l’export", pour structurer une offre française couvrant l’ensemble du secteur et renforcer son attractivité à l’international. 

La naissance de ce collectif s’inscrit dans le prolongement de la collaboration fructueuse qui s’est nouée ces dernières années entre le ministère des sports et la Fédération des Industries Nautiques.

Les travaux ont commencé avec la tenue d’une première rencontre de préfiguration en avril suivie d’une réunion avec le bureau mexicain de Business France en mai, afin de commencer à plancher sur une offre française globale à proposer à ce pays qui souhaite développer un projet nautique intégré.

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