Incidence et NKE, lauréats 2015 du prix de la Haute Technologie
Depuis maintenant six ans, la Fédération des Industries Nautiques (FIN) s'associe à la Fédération Française de Voile (FFVoile) pour décerner le Prix de la Haute Technologie à l’occasion de l’élection du marin de l’année.
Le nautisme à l’export, focus Amérique du nord
PIB et niveau de consommation en progression constante, taux de chômage inférieur à 6%, baisse du prix du pétrole, euro fort… la conjoncture nord-américaine apparaît particulièrement favorable aux exportations depuis l’Europe. Sur ce marché friand de loisirs, et notamment nautiques, la filière plaisance française a beaucoup à gagner. Connaître ses forces et de bien orienter son offre sont deux points particulièrement importants. Isabelle Raux, chef du pôle Art de vivre et santé chez Business France Amérique du nord, dresse la liste.
Les ports boostent l’économie locale
De nombreuses enquêtes le confirment : les communes à proximité d’un site portuaire engrangent davantage d’activité et de recettes que les autres, et bénéficient aussi d’une plus grande attractivité.
Eaux noires, eaux grises… qu'est-ce que c'est ?
Un plaisancier produit chaque jour plusieurs litres d’eaux usées, le plus souvent rejetées dans le milieu aquatique. La FIN vous aide à y voir clair dans ces eaux troubles, à comprendre les évolutions de la législation et à adopter les bons gestes pour l'environnement !
Les formations aux métiers du nautisme
La Fédération des industries nautiques a agréé certains centres de formation pour dispenser les diplômes de la branche nautique (Certificats de Qualification Professionnelle). Ces centres qui bénéficient d’un enseignement et d’infrastructures techniques de qualité travaillent en collaboration avec nos professionnels sur tout le littoral français. Ils sont identifiés dans le document par le logo de la Fédération.
Petits arrangements entre marins ?
Louer son bateau à des particuliers, sur le modèle d’Airbnb, c’est ce que proposent une dizaine de start-ups en France. Si le concept est dans l’air du temps, il cherche encore son modèle économique.
L’économie du partage à l’abordage du nautisme
Immobilier, transports, tourisme, échanges marchands… De plus en plus de secteurs sont touchés par l’essor de systèmes collaboratifs comme la location entre particuliers ou le troc de services. Concurrence déloyale ou vivier d’opportunités ? La question se pose alors que ce nouveau modèle semble gagner le monde de la plaisance.
Le covoiturage prend le large ?
Relier les propriétaires de bateau esseulés et les amateurs, c’est l’idée de ces « bourses aux équipiers 2.0. », posant au passage des questions juridiques.
L’industrie nautique et économie de l’usage
Evolution du profil du plaisancier, nouveaux modes de consommation, changement des attentes… Les transformations du marché semblent impacter, bon gré mal gré, les métiers du nautisme. Si des précautions doivent être prises – pour ne pas encourager la concurrence déloyale notamment –, cette évolution pourrait représenter une source d’opportunités.
Réussir à l’export, l’expérience d’une TPE
Audace, pertinence du produit, positionnement de niche, réseau : voilà ce qui résume le succès en France et comme à l’étranger des Ateliers de la Gazelle des sables, une petite entreprise de moins de 10 salariés spécialisée dans la vente B to C de bateaux de moins de 4 mètres. Dix après son démarrage, la co-fondatrice, Marie Besnié, revient sur ses premiers pas dans l’export.